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mardi 3 novembre 2020

POLITIQUE : « Koudoufarisme » D’UN AUTRE GENRE SOUS LE RÉGIME TOUADERA

Dans un reportage radiodiffusé le lundi, 02 Novembre 2020 et signé par un journaliste  de Radio Ndéké-Luka, la question des députés qu’on qualifierait aisément de prostitués politiques, ceci du fait qu’ils migrent d’un parti à un autre au gré de leur besoin ventripotent, assurés par des propositions financières qui leurs sont généralement faites par les responsables politiques les plus offrants dont le pouvoir en place, a refait surface.

En effet et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’en Centrafrique aujourd’hui, rares sont les partis politiques qui peuvent se venter d’avoir pu offrir à notre jeune démocratie au courant de ces vingt dernières années, des élus, hommes et femmes responsables, à mêmes capables de légiférer sur des questions urgentes et brulantes de droit commun, de justice, et de grand intérêt pour les centrafricains.

Si dans un passé pas très lointain, l’on se souvient encore de la scandaleuse affaire Koudoufara sous le régime MLPC de l’ancien et défunt Président Ange Félix PATASSÉ à l’époque, il faut cependant reconnaitre que la 6e législature actuelle sous le régime du Président TOUADERA, aura battu jusqu’ici tous les records en matière de corruption des députés, favorisant par conséquent la  prostitution politique au sein de notre jeune parlement bicaméral.

Aujourd’hui encore et à quelques semaines des élections groupées du 27 Décembre prochain, les centrafricains assistent  honteusement à divers mouvements migratoires des députés mendiants, ceux-là qui quittent leur famille politique d’origine pour rejoindre la famille parlementaire du Président TOUADERA, le MCU, ou encore bien d’autres partis politiques en évoquant parfois des prétextes fallacieux. C’est ainsi que, et aussi étonnant que cela puisse paraitre, l’UNDP de Michel AMINE,  1er Groupe parlementaire majoritaire à l’assemblée nationale au lendemain des élections de 2015 avec 14 députés,  a perdu douze(12) députés dont sept (07) ont rejoint le  parti Kwa Na Kwa de l’ancien Président François BOZIZE, deux(02) autres, le parti URCA d’Anicet Georges DOLOGUELE, et les cinq(05) derniers députés sont allés grossir les rangs du PAD et celui des parlementaires de la majorité présidentielle acquise au MCU.

Les députés.

Certains partis comme le KNK ont vu ainsi doublé le nombre de leurs députés, tandis que d’autres n’ont carrément plus à ce jour de groupe parlementaire à l’assemblée, les députés étant presque tous partis. C’est le cas par exemple du PATRIE de Me Crépin MBOLI-GOUMBA ou du RPR d’Alexandre Ferdinand N’GUENDET.

(Lire l'article aussi https://www.radiondekeluka.org/actualites/politique/36225-centrafrique-des-deputes-changent-de-camps-a-l-assemblee-nationale.html)

Même les partis qu’on croyait pourtant aguerris en politique  ont été victime de ce désastre.  L’URCA par exemple a perdu deux(02) députés dont l’un  serait le suppléant de DOLOGUELE, et qui ont rejoint le parti MOUNI de KAMACH, le MLPC de ZIGUELE va perdre lui aussi un député qui va se retrouver dans le bateau MCU, tout comme le RDC de Désiré KOLINGBA dont cinq des députés exclus du partis vont aller grossier le rang des parlementaires MCU contre espèces sonnantes et trébuchantes. Autant le dire donc, les députés une fois qu’ils sont élus, se vendent généralement comme des petits pains, et parfois à des prix dérisoires. On parle de  150.000 frs, 200.000 frs, et parfois à coup de centaines de mille pour ceux qui rejoignent le clan de la majorité présidentielle MCU, puisque de sources bien introduites, l’argent  sortirait du trésor public centrafricain pour aller corrompre et acheter ces députés affamés.

Cette pratique politiquement macabre pour la nation, il faut le dire à haute voix à défaut de le crier, empoisonne sérieusement le paysage politique centrafricain, fait gravement régresser la démocratie, et cause un tort irréparable aux partis politiques dont l´apport au développement de notre pays à travers leurs élus est indispensable, et cela peut s’avérer être très dangereux.

Michel AMINE par exemple, Président du parti UNDP alertait déjà l’opinion en novembre 2017  au travers d’une lettre ouverte contre ses députés à l’époque majoritaires à l’assemblée, condamnant leurs attitudes et comportements devenus hostiles à la vie du parti, puisqu’il faut le rappeler, ces derniers une fois élus sous la bannière de l’UNDP, ont totalement tourné le dos à ce parti au profit de leurs propres intérêts, ne payant ainsi plus les cotisations conformément aux engagements qu’ils avaient pris, et qui étaient de verser seulement 10% de leurs revenus mensuelles dans les caisses du parti UNDP afin de faire fonctionner celui-ci, et de contribuer ainsi à l’animation de la  vie politique du parti. AMINE reprochait aussi à ces députés aujourd’hui dispersés dans d’autres partis politiques, le fait pour eux de n’avoir jamais été capable, et dans l’intérêt du peuple qu’ils prétendaient représenter, de faire une proposition de loi dans l’intérêt de celui-ci. Voila pourquoi l’homme de la Révolution Verte demandait alors clairement à ces députés, de démissionner s’ils ne pouvaient plus honorer à leurs engagements vis-à-vis, et du parti, et du peuple Centrafricain.

Une interpellation de l’époque qui donne aujourd’hui raison à  Michel AMINE, et nous force même encore à nous demander si certains députés aujourd’hui, prennent souvent le temps de lire les textes qui régissent le fonctionnement d’une assemblée telle la notre, où de savoir au moins pourquoi ils sont élus députés, et quelles sont leurs prérogatives. Et si la République Centrafricaine est devenue aujourd’hui le pays où des groupes armés étrangers viennent s’installer sans inquiétude, puis piller, violer, massacrer, et enlever la population, c’est aussi du fait du laxisme des élus du peuple qui ne jouent pas leurs rôles, parce que trop occupés à s’enrichir.

Constat triste, vraiment triste, mais il faut cependant reconnaitre qu’au rang des coupables et instigateurs de ce fléaux totalement anti-démocratique, il y a le  régime actuel qui détient la caisse publique, et n’hésite pas pour ses intérêts personnels, c'est-à-dire qui n’ont rien avoir avec celui des centrafricains, de se servir à volonté afin de corrompre et détourner ces députés de la nation  leurs missions originelles, et qui est de servir le peuple qu’ils représentent. Plus encore, et toujours au rang des coupables, mais qui, cette fois sont ceux qui laissent faire, on peut citer la Cour Constitutionnelle, cette institution dont l’un des rôles majeurs est de vérifier si les lois adoptées par le Parlement soient conformes aux dispositions de la Constitution. Nous faisons clairement allusion ici à cette loi proprement anticonstitutionnelle et votée il y a quelques années, faisant des députés « démissionnaires » de leurs partis, des députés dits de la « nation ». Au nom de la non-conformité, la Cour Constitutionnelle peut pourtant se prononcer avec fermeté, ceci  afin que nos députés cessent d’être des mendiants à la solde des régimes qui se succèdent, et travaillent à offrir au pays des lois qu´il mérite.

D’ailleurs, la fonction de la Cour, il faut le rappeler, est inamovible et ne dépend pas du bon vouloir du pouvoir exécutif, même lorsque ce sera lui qui en nommerait les membres. L´indépendance de la fonction de la cour est donc sacrée et elle a intérêt de veiller à ce que des lois farfelues et délibérément orientées ne soient pas prises pour servir des intérêts inavoués des individuels comme c’est le cas en ce moment,  plutôt que de notre peuple souverain. 

Bientôt une fois encore, avec ces élections du 27 décembre,  notre pays comptera sa 7eme législature, et il faut craindre que le fléau aille de mal en pis, surtout s’il advenait que l’homme du 30 mars 2016 soit reconduit à la tête du pays. Il est donc temps que cela cesse, puisqu’elle dessert notre pays, et met en péril  notre jeune démocratie.

Que ceux qui sont sensés faire changer ce genre de pratique nauséabonde pour la démocratie en Centrafrique, puisse faire leur boulot, ils doivent agir sans trembler !

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Pour Vox Populi 236

Annie Gisèle TEKPA

SOCIÉTÉ: 24ÈME COMMÉMORATION DU DÉCÈS DE L'EMPEREUR JEAN-BEDEL BOKASSA.

A l'occasion de la 24ème commémoration du décès de l'Empereur Jean-Bedel BOKASSA, la famille BOKASSA a reçu ce jour,03 Novembre 2020, au chalet familial à Pissa la visite de plusieurs hautes personnalités politiques.


Parmi celles-ci, l'ancien chef d'Etat Centrafricain, François Bozize Yangouvounda, le Président Fondateur du Knk ; Anicet Georges Dologuélé, Président du parti URCA ; Jean Barkès NGOMBE_KETTE, ancien Maire de la ville Bangui, et le Général GALOUTI José, qui représentait le Ministre de la défense, ainsi que les Notables.

Les personnalités d'honneurs présents

Accueillie au chalet à Pissa, la Délégation s'est ensuite rendue au village BONGOMBE, à proximité de l'ancienne Cour Impériale de Bérengo, pour honorer la mémoire de l'Empereur Jean Bedel Bokassa, puisqu’il faut  noter que l'accès à l'enceinte de la Cour Impériale où repose le corps de l'empereur a été refusé à la famille, puisque transformée depuis peu, et sans concertation préalable de la famille, en une base militaire occupée par les formateurs Russes.

Emp. Jean Bedel BOKASSA

La réussite de cette célébration malgré le refus de l'accès à l'enceinte de la Cour démontre la gratitude de certains hommes politiques à l'endroit de cet homme qui a énormément contribué au Développement de notre pays.

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Source: Armelle NZONI


Centrafrique : les 1er dossiers des candidats à la présidentielle en cours de traitement par la Cour Constitutionnelle.

La Cour Constitutionnelle a débuté le traitement des dossiers des candidats à la présidentielle déposés depuis le 1er novembre dernier. Une information confiée au RJDH par des sources proches de la Cour, ce mardi 3 novembre 2020, soit trois jours après le dépôt de dossiers à Bangui. 

Il s’agit des huit premiers dossiers de candidatures à la présidentielle du 27 décembre prochain. Selon la cour, tous les magistrats sont mobilisés pour commencer le traitement des dossiers selon le chronogramme. « Les huit dossiers enregistrés par l’Autorité Nationale des Elections pour la présidentielle, sont en cours d’examen au siège de la Cour Constitutionnelle. Ils sont déjà arrivés à la cour constitutionnelle et les juges sont en train de pencher sur le traitement, conformément aux dispositions de la Constitution du 30 mars », a confié une source à la Cour Constitutionnelle.

La Cour va statuer sur la question d’éligibilité de chaque candidat engagé dans la course à la présidentielle du 27 décembre prochain. Elle est la juridiction compétente en matière de candidat et d’éligibilité. En cas de contentieux, « la Cour dispose d’un délai de 15 jours à compter de la date de l’enregistrement de la requête à son siège pour statuer sur les dossiers ».

Les Juges de la Cour

Huit critères sont définis dans la loi pour être éligible notamment, le critère d’âge (35) ans au moins le jour du dépôt de candidature, n’avoir pas fait l’objet de condamnation face à une peine afflictive, ou infamante et avoir résidé sur le territoire national depuis au moins un an. La publication définitive des listes des candidats selon le code électoral en son article 95 aliéna 2 est fixé le 03 décembre 2020 et le premier scrutin le 27 décembre prochain.

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Pour le RJDH Jocelyn Nadège Kokada

Repris par Vox-Populi 236


dimanche 1 novembre 2020

POLITIQUE: DÉBUT DES DEPOTS DE CANDIDATURES A L'ANE

 L’autorité nationale des élections (ÂNE), chargée d’organiser techniquement des élections en Centrafrique,  a officiellement  lancé ce dimanche 1er novembre 2020 l’ouverture de la période du dépôt des candidatures pour la présidentielle et législatives du 27 décembre 2020.

Les futurs candidates et candidats à la présidentielle et aux législatives sont appelés à procéder au dépôt de leur candidature à l’autorité nationale des élections à Bangui, et ce,  jusqu’au 10 novembre 2020, date de clôture.

Au total, près d’une dizaine des prétendants, soit investis par leur mouvement politique, soit à titre indépendant,  auront fait acte de candidature pour la présidentielle, tandis que pour les législatives, on dénombre déjà  plus d’un millier.

Cependant,  la matinée  de ce dimanche 1er novembre a été marquée par le dépôt de candidature de plusieurs candidats à la présidentielle, à savoir le chef de l’État Faustin Archange TOUADERA, candidat de son parti les cœurs unis (MCU), inscrits au numéro 1, de l’honorable Anicet Georges Dologuélé, candidat de son parti l’Union pour le renouveau centrafricain (URCA), inscrit au numéro 2, puis de l’honorable Martin Ziguélé, investi par son parti le mouvement de libération du peuple centrafricain (MLPC), inscrit au numéro 3. Sans oublier les candidatures de l’ancien Président de la République François Bozizé, Président du parti KNK,  de maître Crépin Mboli Goumba, Président du PATRIE, de Madame Catherine Samba-Panza, candidate indépendante,  et bien d’autres prétendants au fauteuil présidentiel.

Pour les législatives, ils sont plusieurs dizaines à se présenter ce dimanche à l’ÂNE pour déposer leur candidature.



Après la clôture de la période du dépôt des candidatures auprès de l’autorité nationale des élections, tous les dossiers seront transmis à la Cour Constitutionnelle pour leur validation ou non par les juges de cette haute institution judiciaire du pays. Un moment très attendu par la population centrafricaine, car les proches du chef de l’État, dans leurs publications sur les réseaux sociaux, ou encore dans des médias pro-régimes,  ont d’ores et déjà annoncé l’invalidation de certaines candidatures comme celles de François Bozizé et de Catherine Samba-Panza. Une situation qui pourrait créer une nouvelle crise politique dans le pays.

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Source Originelle :Corbeaux-News


CENTRAFRIQUE : L'ANE FAIT LE POINT SUR LA MISE EN PLACE DU PROCESSUS ÉLECTORAL.

Lors d’une Conférence de Presse ce samedi 31 Octobre, l’Autorité Nationale des Élections(ANE) a assuré que la mise en place du Processus Électoral avançait bien. A cette occasion l’ANE a fait un tour d’horizon de la situation et fait le bilan de l’enrôlement des électeurs.

Les membres de l'ANE

Ils seront plus d’1,8 million de Centrafricains à aller voter, à peine 100 000 de moins qu’en 2015. 46,5% des inscrits sont des femmes. 17. 000 doublons ont été détectés et traités, détaille l’ANE. Le processus d’enrôlement des électeurs a été questionné par certains.

Le Rapporteur Général est revenu sur ces contentieux et a affirmé que l’Autorité Nationale des Élections a répondu à une cinquantaine de recours. L’ANE reconnaît faire face dans ses activités à des défis importants sur le Plan Sécuritaire et Logistique notamment.

L’épidémie de Covid_19 a encore compliqué la tâche de l’organisation, et a fait grimper certains coûts par trois, voire par quatre. Les électeurs sont donc convoqués à aller voter le 27 Décembre prochain dans 144 Circonscriptions selon les décrets publiés ce mardi. Les Candidats à la Présidentielle et aux Législatives sont eux appelés à déposer leurs dossiers complets entre le 1er et le 10 Novembre.

Lors de sa Conférence de Presse, l’ANE est également revenue sur une polémique concernant un serveur informatique  financé par la France.

L’institution a démenti les rumeurs affirmant que la France installerait un serveur qui lui permettrait d’avoir la main sur les données électorales.

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Source #RFI

mardi 27 octobre 2020

POLITIQUE : DIDIER MARTIAL PABANDJI, LE DNC DE MICHEL AMINE ET PORTE PAROLE DE L’UNDP, ACCEUILLI AVEC HONNEUR A BANGUI PAR LES MEMBRES DU BUREAU POLITIQUE DU PARTI.

C’est avec les honneurs dus à son rang au sein du parti UNDP de Michel AMINE dont il est le désormais Directeur National de Campagne (DNC) et porte parole, que Didier Martial PABANDJI a été accueilli à sa décente d’avion cet après midi du mardi, 27 Octobre 2020 à l’aéroport international de Bangui M’POKO, par les membres du Bureau politique du parti.

Face a cet accueil très chaleureux et qui n’a pu le laisser indifférent, le DNC et porte parole de l’UNDP a vite fait de transmettre aux membres du Bureau politique, les fraternelles salutations de leur Président  Fondateur Michel AMINE, qui devra arriver à Bangui dans les prochaines semaines, et de leur donner quelques précisions sur la mission qui  lui a été confiée, dont l’une consiste à plusieurs réunions stratégiques avec les responsables des différentes bases du parti, tant à Bangui que dans l’arrière-pays.

Le DNC porte-parole et les membres du Bureau

Pour Martial PABANDJI qui est très serein, le parti UNDP quoi qu’on dise, demeure un poids lourd sur l’échiquier politique centrafricain,  et aura assurément son mot à dire à travers  sa participation aux prochaines échéances électorales  du 27 Décembre 2020. 

Voila pourquoi tous les lieutenants de ce parti porteur d'espoir devront se mettre dès maintenant en ordre de batail.

L

Une chose est certaine, ça bouge véritablement à l’UNDP, et à cette allure, il faut croire que le meilleur reste à venir. 

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Pour Vox-Populi 236

Anne Gisèle TEKPA


lundi 26 octobre 2020

POLITIQUE : MICHEL AMINE DONNE LE TEMPO A SON PARTI PAR UNE NOUVELLE NOMINATION AU SEIN DU BUREAU FEDERAL UNDP FRANCE-EUROPE-AMERIQUE.

Après la nouvelle de nomination la semaine dernière de Didier Martial PABANDJI comme son Directeur National de Campagne et porte parole du parti, Michel AMINE, le président fondateur de l’Union Nationale pour la Démocratie et le Progrès (UNDP), vient de nommer par Décision N°004/UNDP/PF.20 du 24 octobre 2020, Ludovic LEDO, comme secrétaire  général, chargé de la communication et porte-parole du Bureau Fédéral UNDP France Europe Amérique.

Ludovic LEDO , SG Bureau Fédéral UNDP France-EU-USA

Il est évident que par ces nominations, l’homme politique AMINE Michel, patron de la Révolution Verte, est entrain de véritablement  donner du tempo à son parti qui semblait être confronté ces derniers temps à divers problèmes de leadership.

Décision de nomination N°004/UNDP/PF.20

Michel AMINE, il faut le signaler, est candidat aux prochaines élections Présidentielles et législatives du 27 décembre 2020. Son parti l’UNDP, pour rappel, lors des dernières élections de 2015 auxquelles AMINE ne prendra malheureusement pas part parce que victime d’un complot savamment orchestré contre lui,  s’était hisser au 1er rang des groupes parlementaires avec 14 députés. Juste après, de nombres soubresauts politiques ont fragilisé l’UNDP, surtout avec l’absence d’AMINE qui n’était pas au pays.

Mais aujourd’hui, avec dans son équipe des jeunes talentueux comme Martial PABANDJI et Ludovic LEDO, dont les compétences ne souffrent d’aucune contestation, il va de soi que de ses cendres et comme un phœnix, l’UNDP renaitra.

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Pour VOX-POPULI 236

Armand OKOL SELEBANGUE


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ELECTIONS DU 27 DEC 2020: JOSEPH BENDOUNGA SAISIT A NOUVEAU LA COUR CONSTITUTIONNELLE.

À quelques jours de la publication définitive des listes des candidats aux élections présidentielles et législatives du 27 décembre, le Prés...